| | Texte de correspondance | Merci mon cher Jean de tes souhaits affectueux, accepte en échange mes
voeux les meilleurs pour l'année 1910. Voici déjà deux ans que nous sommes
en Normandie où si voyage jusqu'en Bretagne était moins fatiguant, j'irai plus
souvent voir les miens, mais il faut vraiment une bonne dose de courage pour
affronter ces longues heures de chemin de fer.
Te plais-tu à Toulon ? Oui sans doute car tu dois trouver dans cette ville
beaucoup de distractions. Mon mari et moi t'adressons mon cher Jean notre
meilleur souvenir.
Ta cousine affectionnée
Georgette |
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